Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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9.20 -
La fête portoricaine
The Puerto Rican Day
Le quatuor s'enfuit à New York pour un voyage mouvementé mais se retrouve bloqué à Porto Rico...
Diffusion originale : 07 mai 1998
Diffusion française :
07 mai 1998
Réalisat.eur.rice.s :
Andy Ackerman
Scénariste.s :
Alec Berg
,
Andy Robin
,
Bruce Eric Kaplan
,
Daniel O'Keefe
,
David Mandel
,
Gregg Kavet
,
Jeff Schaffer
,
Jennifer Crittenden
,
Spike Feresten
,
Steve Koren
Guest.s :
Alison Martin
,
Armando Molina
,
Bert Rosario
,
Chip Heller
,
Dayton Callie
,
Helen Carey
,
James Karen
,
Jenica Bergere
,
John Paragon
,
Marc Hirschfeld
,
Marcelo Tubert
,
Mario Joyner
,
Mimi Cozzens
,
Monica Allison
,
Raoul N. Rizik
,
Scott Conte
,
Tom Agna
,
Tom Dahlgren
,
Yul Vazquez
nicknackpadiwak
Pour ce dernier épisode de 22 minutes de la série, on sent une volonté d’offrir un dernier épisode expérimental, tel celui du restaurant chinois ou le parking, avec un seul lieu et une seule unité de temps, une sorte d’épisode bottle, même si ici les moyens ont été mis avec reconstituons d’une parade portoricaine, pas mal de figurants et des tas de voitures réquisitionnées.
Néanmoins, la mayonnaise a du mal à prendre, car même si il y a des moments sympa (les fausses visites de l’appartement à vendre pour y faire ses besoins ou regarder la télé ou Elaine en mode film catastrophe sous les gradins), cela reste poussif et l’épisode souffre de la comparaison avec les autres classiques, d’autant plus qu’il est plombé par le subplot de George, très rigolo dans sa 1er partie où ce dernier va revoir un film pour sortir une blague pour faire rire la salle mais d’une médiocrité rare pour Seinfeld avec ce laser qui le poursuit.
Par contre, ce genre d’épisode de Seinfeld (rappelant l’épisode du métro, autrement plus consistant par ailleurs) montre toujours le comportement agressif et d’une absence totale de politesse ou d’empathie des New-Yorkais. A ce titre, la scène du cinéma (où tout le monde parle ou mange et où un spectateur s'amusant à projeter un laser sur les seins des actrices à l'écran fait plier en quatre toute la salle) est assez édifiante.